Confessions d’un ascenseur

Au théâtre ce soir

Comme au cinéma ou en littérature, l’ascenseur a inspiré l’écriture théâtrale, en particulier, pour des huis clos. Leurs auteurs adoptent aussi bien le ton de la comédie que celui de la satire sociale. Dans Voyage en ascenseur, Sophie Forte aborde le thème de la tolérance : un vendredi soir, l’épouse du patron, une femme angoissée, abandonnée et snob, est coincée avec l’homme de ménage, un africain mutique, poète et père de famille, au deuxième sous-sol de l’entreprise. Autres registres : L’ascenseur de Jean-Pierre Roos, un huis clos entre deux âges et deux étages ; enfin l’irrésistible Week-end en ascenseur de Jean-Christophe Barc. Le pitch ? Quatre personnages bloqués dans l’ascenseur. La ventilation en panne. L’immeuble est insonorisé et le gardien absent. Rideau !

 

Extrait du recueil « Cent Confessions d’un ascenseur », non destiné à la vente.

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